|
Christian
Bigaud - Orgue de barbarie |
Chanson
française d'hier et d'aujourd'hui |
|
|
| JOHNNY
PALMER Christian VEBEL / Claude PINGAULT (1937) |
|||
|
|
Le commandant du "Cachalot" Vient d'engager à Saint Malo Vingt gars, pas davantage Mais ils sont tous fins matelots On ne connait qu'un seul salaud Parmi tout l'équipage REFRAIN : Qui triche au jeu sitôt qu'il perd Qui est brutal, jaloux, amer, C'est Johnny Palmer Qui parle à tort et à travers Plus malfaisant que vingt commères C'est Johnny Palmer. Ne cherchez pas qui a crevé la toile du hamac Ni le cochon qui a craché partout sur le tillac C'est celui qui, pour boire un verre, Tuerait son père, vendrait sa mère C'est Johnny PalmerUn jour on vole une montre en or Puis v'là qu'on trouve le chat du bord Bouillant dans la marmite Deux jours plus tard un gars du port D'un coup d'poignard est trouvé mort On a pensé tout d'suite : AU REFRAIN Ne cherchez pas qui a volé la belle montre en or Ni zigouillé froid'ment le chat du bord, le gars du port C'est celui qui, pour boire un verre Tuerait son père, vendrait sa mère C'est Johnny PalmerMais ce qu'on ne saura jamais C'est qu'autrefois, celle qu'il aimait Sa femme, c'était tout comme Partit un jour, ne revint point Il ne dit rien, serra les points Depuis c'est un autre homme : AU REFRAIN Ne cherchez pas à le guérir son coeur est endurci Laissez-le dans son coin... En attendant, retenez ceci : Un soir lassé d'avoir souffert Qui c'est qui s'foutra dans la mer? Un pauvre gars Johnny Palmer. |
||
|
|