Trois petites notes de musique
Ont plié boutique
Au creux du souvenir
S’en est fini de leur tapage
Elles tournent la page
Et vont s’endormir
Mais un jour sans crier gare
Elles nous reviennent en mémoire
Toi
tu voulais oublier
Un petit air galvaudé
Dans les rues de l’été
Toi tu n’oublieras jamais
Une rue un été
Une fille qui fredonnait
La
la la la, je vous aime
Chantait la rengaine
La la, mon amour
Des paroles sans rien de sublime
Pourvu que la rime
Amène toujours
Une romance de vacances
Qui lancinante vous relance
Vrai,
elle était si jolie
Si fraiche épanouie
Et tu ne l’as pas cueillie
Vrai pour son pour son premier frisson,
Elle t’offrait une chanson
A prendre à l’unisson
La
la la la, tout rêve
Rime avec s’achève
Le tien n’rime à rien
Fini avant qu’il commence
Le temps d’une danse
L’espace d’un refrain ………… La la la...
Trois
petites notes de musique
Qui vous font la nique
Du fond du souvenir
Lèvent un cruel rideau d’scène
Sur mille et une peines
Qui n’veulent pas mourir.
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